Différence entre le COO et le CEO

La langue anglaise définie aujourd’hui la plupart des métiers, ce que beaucoup d'entrepreneurs ignorent. Le COO reste tout de même utile et présent sur le marché et dans les entreprises. Beaucoup d’entreprises le confond au CEO. Le plus important ici est de ressortir dans cet article la différence entre ses deux termes.

Le COO

Ce terme est d’origine anglaise, c'est-à-dire chief operating officier dont la traduction en français signifie directeur des opérations. Pour une entreprise qui souhaite diversifier son portefeuille client, il est préférable pour lui d’avoir un personnel qui maîtrise l’anglais. Vous aurez sur ce site des informations sur le personnel adapté. Il a pour mission de booster le chiffre d’affaires de l’entreprise. Le COO s’assure de la transition des consignes aux seins des équipes et fait office de relais entre l’employeur et l’employé. Celui qui occupera ce poste doit avoir des compétences dans le management ainsi que l’esprit d’interprétation et d’analyse. Il se doit d’évaluer le secteur du marché de l’entreprise pour lequel il travaille afin d’établir une bonne stratégie opérationnelle. Un bon COO doit être autonome et avoir la maîtrise de soi de même que ses émotions.

Le CEO

En anglais, on parle de chief executive officier. En français, en tenant compte de la taille de l'entreprise, on parlera de président directeur général ou tout simplement de directeur général. C’est la plus grande hiérarchie de l’entreprise. Il participe activement à l’évolution de l’entreprise contrairement à ce que certains pensent dans l’opinion publique. N’importe qui ne peut se proclamer CEO parce que pour l’être, il faut avoir une base dans tous les domaines d’interventions de l’entreprise. Pour atteindre ce niveau, il faut avoir travaillé pendant des années dans l’entreprise ou ailleurs à divers postes. 

La différence entre les termes semble assez évidente. Le CEO est au-dessus du COO, sans oublier qu’il est plus difficile de devenir CEO que d’être COO. Les deux termes restent néanmoins complémentaires pour le bon fonctionnement de l’entreprise.